< PreviousFunérailles Eugène TASSINÀ VOTRE SERVICEJOUR & NUIT - 7 JOURS SUR 710 rue Chapelle St-Anne – 1457 Walhain(face au centre sportif)010 655 205 – 0476 299 019tassin.walhain1457@gmail.comPartout en Belgique et à l’étrangersur simple appel téléphonique• Funérarium• Salle de réception• Parking aisé• Toutes assurances décès• Crémations et embaumements• Grand choix de eurs, plaques souvenirs• Monuments funéraires• Nous rédigeons vos avis nécrologiques, faire-part, remerciements, souvenirs, anniversaire.Nous réalisonstous travaux de cimetièreSabrinaFEDERICOgent immobilierIPI 5064510476 / 33 60 22 Rue Lahaut 411325 Chaumontwww.sabrinafederico.becontact@sabrinafederico.beEvaluation gratuite,Reportages photos (360° et aériennes*)et films vidéos*si possibilitéRue des Frères Poels, 8 à 1325 Dion-ValmontTél. : 010.84.02.96 • E-mail : info@atelierswillems.beTONDEUSES •TRONÇONNEUSES •MOTOCULTEURS •MINITRACTEURS •DÉBROUSSAILLEUSES •ENTRETIENT •TOUTES MARQUES •A L’ACHAT D’UN ROBOT ET COUPE BORDURE SUR BATTERIELA BATTERIE EST OFFERTE !ISEKI SXG316 DIESEL, (102 CM)PROMO 9590€2021Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommuneAperçu des travaux réalisés depuis 2013 et prévisions pour 2018Entretien des revêtements de voirieDepuis 2013 a lieu chaque année une campagne de traite-ment superficiel de revêtement de voirie d’une durée totale d’environ deux semaines.Il s’agit ici de techniques préventives réalisées par des firmes spécialisées (enduisages et/ou schlammages) qui présentent l’avantage d’être rapides, peu onéreuses et consistent à étanchéifier les revêtements tout en améliorant la planéité, ce qui prolonge considérablement la durée de vie du patrimoine routier communal.A ce jour, 35 km de voirie ont été traités (200.000 m2).Par ailleurs, 18 km ont été rénovés dans le cadre de l’égouttage et de la pose d’un collecteur (Dossier Plan d’Investissement Communal).AssainissementD’importants travaux d’égouttage ont été réalisés en partenariat avec l’Intercommunale du Brabant wallon à qui la commune confie la maîtrise de l’ouvrage, les études, la direction et la surveillance des chantiers.Dans la majorité des cas, ces travaux de pose d’égouttage vont de paire avec la rénovation intégrale de la voirie et, le cas échéant, à des aménagements anti-inondations.Ce fut le cas pour : · La pose du collecteur du Ry du Pré Delcourt : ❚Avenue du Ronvau ❚Rue Champtaine ❚Rue de la Fontaine ❚Rue Jean MartinChantier d’envergure débuté en mai 2013 et terminé fin 2016, pendant lequel le dédoublement d’une partie canalisée du cours d’eau a été finalisé. · Vieusart : égouttage d’un tronçon de la rue de Mèves y compris réfection totale de la voi-rie, pose de caniveaux transversaux et avaloirs « gros débit », renouvel-lement du revêtement bitumeux d’un tronçon de voirie situé hors égouttage (accotements et trottoirs).La sécurisation du carrefour avec le Chemin du Relais a également été intégrée à ce projet. · Rue d’Inchebroux (2017) : égouttage et réfection totale de voirie incluant la pose de nou-veaux éléments linéaires (bordures, filets d’eau …). · Egouttage et voirie :Rue Pré Delcourt (2017) : celle-ci sera intégralement renou-velée en deux phases, le premier tronçon venant d’être terminé fin 2017. La deuxième phase sera finalisée dans le courant de l’année 2018.A noter qu’un dispositif anti-inondations a été prévu dans la partie basse de la rue du Gros Médart. · Sorbiers (2017)Egouttage et rénovation totale de la voirie, y compris la pose de caniveaux transversaux de grande capacité. · Carrefour rue d’Incourt et rue de Sart-Risbart à Longueville : sécurisation, voiries et égouts. · Pistes cyclo-piétonnes : réalisation de 3 km depuis 2013.Rue de Chastre et rue de Corroy : réalisation de 1,3km depuis 2013.Liaison de 900 mètres de la rue du Brocsous vers Lou-vain-la-Neuve, une partie de 450 mètres rue de Mèves a été effectuée. · TRAVAUX (n° 7)Le Collège communal a manifesté depuis 2013 dans sa politique générale une attention toute particulière et rigoureuse en matière de travaux. Celle-ci se traduit aujourd’hui par de nombreuses réalisations que nous avons le plaisir de vous présenter en partie. Tout ceci n’aurait pas été possible sans l’intervention et l’investissement du personnel technique de la Commune et de subsides sollicités et obtenus.David FRITS, Echevin des travauxn° 1 : Nos voiries : travaux et entretienn° 2 : Déneigementn° 3 : L’assainissement collectifn°4 : Gestion et entretien du patrimoine voyer (1)n°5 : Gestion et entretien du patrimoine voyer (2)n °6 : Réalisation de deux pistes cyclo-piétonnesCarrefour LonguevilleCarrefour Ronvau - Champtaine - FloremondCarrefour Rue de MèvesPiste cyclable rue de Corroy22Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommuneJe veux peindre ma maison en jaune !Sous ce titre à peine provocateur, nous nous permettons de revenir sur l’éternel débat relatif aux actes et travaux en matière d’urbanisme.Autorisés ou pas… ?Peindre sa maison en jaune, ça vous plait ? Tant mieux. Mais cela plait-il aux voisins qui ont le nez dessus ? Cela ne risque-t-il pas de dénaturer le quartier dans lequel vous habitez ? N’existe-t-il pas une réglementation qui vous dicte les tons et gabarits acceptables ? Pour répondre à ces questions, le Service Urbanisme de Chaumont-Gistoux est là, entre autres, pour veiller au respect du Code, à la cohérence des choix qui sont faits et à l’harmonie, ô combien précieuse, que nous voulons préserver dans nos villages. · « On ne sait pas le temps que ça va prendre, ce qu’on va nous demander »Voila une phrase que l’on entend trop souvent lorsqu’on se lance dans la grande aventure, et qui est évidemment une question centrale. Avec le nouveau Code (le « prestigieux » CoDT), un cadre précis et porteur de délais de rigueur est d’application. Ainsi, si dans certains cas, un permis d’urba-nisme est nécessaire, toute une série d’actes et travaux en sont dispensés. Construire, rénover, agrandir son bien, c’est un projet de vie, un rêve que l’on veut voir abouti. Nous voulons être à vos côtés et vous guider à atteindre ce rêve ! · « Le vendeur m’a dit qu’il ne fallait pas de permis ! »Qu’il s’agisse d’implanter une piscine ou un abri de jardin, de rajouter deux espaces de parking ou une grille d’entrée, d’abattre un arbre ou, par exemple, placer des palissades qui vous isoleront de vos voisins, tous les actes ne sont pas systématiquement autorisés. ❚Suis-je dispensé de permis ? ❚Dois-je avoir recours à un architecte ? ❚Quelles sont les démarches à accomplir ? ❚Ça va prendre longtemps ? ❚Pourquoi dans telle rue, c’est autorisé et pas chez moi ? · Des sanctions ?Pour tous les projets « un peu plus particuliers » ou d’envergure, comme prévu dans le CoDT, le Collège communal, avant de remettre un avis, provoque une Annonce de Projet (ou Enquête Publique) afin de rassembler les avis des habitants. Mais tous les projets ne sont pas soumis à cette règle et, hélas, trop nombreux sont encore ceux qui se lancent dans des transformations sans autorisation (aggra-vant ainsi l’infraction par une insatisfac-tion générale du voi-sinage).Lorsqu’il est informé de cette situation, le Collège, en parfaite équité, interroge tou-jours le contrevenant et décide, selon les circonstances, de régulariser (exiger une demande de permis « après coup », sans savoir s’il sera octroyé), de transformer, voire de rétablir la situation initiale. Des sanctions financières peuvent également être imposées, situations extrêmes qui nous désolent. · Vous voulez en savoir plus ?Comme il n’existe pas deux projets identiques, on ne peut que vivement vous conseiller, quel que soit votre objectif ou projet de vie, de prendre contact avec nos services qui pourront vous renseigner avec toute la clarté voulue. De la sorte, plus d’incertitudes, plus de surprises !Par ailleurs, une brochure de vulgarisation du CoDT est dis-ponible auprès de notre Service Urbanisme ou, plus simple et plus écologique, sur notre site communal.Informations :Service UrbanismePermanences ouvertes au public : lundi, mardi et jeudi de 9 h à 12 hTéléphone : 010/68.72.11Le service travaille à bureaux fermés le mercrediSur le site communal :http: / /www.chaumont - gistoux . be/votre-commune/services-administratifs/urbanisme-et-amenagement-du-territoire/dispenses-de-permisNous construisons Chaumont-Gistoux de demain.Luc MERTENS, Echevin de l’Urbanisme.Prévisions 2018/2019 :2018 : · Pré Delcourt phase 2 et rue Arsène Matton (tronçon). · Rue du Moulin : raccordement de l’égout existant au collecteur via forage sous la Chaussée de Huy. · Colline des Sources : réalisation d’un égouttage par forage en site privé de la Colline des Sources vers la rue Bas Bonlez. (Dossier en cours). · Pistes cyclo-piétonnes :Un tronçon de piste cyclo-piétonne de 750 mètres rue de Mèves est projeté en 2018, sa réalisation sera également confiée au personnel ouvrier. · Lutte contre les inondations :De nombreux projets ont été menés dans le cadre de la lutte contre les inondations et une attention toute particulière est portée en la matière lors de nouveaux projets urbanistiques.2019 : · Quartier du Panorama : Plan d’Investissement Commu-nal : voiries, égouts et remplacement des canalisations d’eau. · Traversée de la Chaussée de Huy (du Chemin de l’Herbe vers la rue des 4 Carrés) : liaison et raccordement au collecteur). · Réalisation : liaison de 900 mètres de la rue du Brocsous vers Louvain-La-Neuve, une partie de 450 mètres rue de Mèves a déjà été effectuée.Certains travaux ont bénéficié de subsides provinciaux et régionaux.C’est au total, avec les travaux inhérents aux bâtiments communaux et autres réalisations (entretien annuel des voi-ries, réalisation de nouveaux projets égouttage, dispositifs anti-inondations, curage des rivières, …), pas moins d’un montant de 9.367.969,32 € qui a été consacré à ces projets au budget communal entre 2013 et 2017.Méthode de GasquetAbdos AutrementStretching Global ActifMéthode Ph. Souchard www.lecoledumouvement.bePilâtesYoga-Pascale Burlet 0478/ 56 34 73 Offrez-vous un moment EXCLUSIFprivatif entre wavre et LLNDionbulleswww.dionbulles.be0486/25 35 70Soins à Chaumont-Gistoux, Walhain St-Paul Grez-Doiceau & IncourtAgréés toutes mutuellesAncienne équipe de Brigitte WilliotSoins à domicileCHAUMONT GISTOUXDESHAYES Kathleen 0498/46 91 84LONGUEVILLE Sarah 0473/57 46 19 TRAVAUX ROUTIERSPUBLICS & PRIVESFabrication & posede béton & asphaltePavage - dallageEgouttageDepuis 190285, Chaussée Provinciale Tél.: 010.61.28.471341 OTTIGNIES - L.L.N. Fax : 010.61.13.27info@melinsa.be - www.melinsa.beNOUVEAUSHOWROOMLe service container régional par excellence !Avenue Zénobe Gramme, 9 - 1300 WAVRE Tél. 010/22.85.22 - Fax 010/24.18.16 dekock@dekock.info - www.dekock.infoDE KOCK WAVRE S.A. ContainersCentre de triSable - BétonDémolitionsVoiries &Terrassements2324Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommunePlaines de vacances communalesLa Commune de Chaumont-Gistoux repart pour la grande aventure des plaines de vacances !Pour qui ?Tous les enfants de 2 ans ½ à 12 ans (printemps et juillet-août)Les enfants de 2 ans ½ à 8 ans (Toussaint, Carnaval)Deux semaines sont prévues en juillet pour les « ados » jusque 15 ansOù ? · A l’école communale de Dion – 3, rue du Brocsous (Automne, détente, printemps) · A l’école communale de Gistoux – 1, Rue Zaine - 1325 Gistoux (juillet-août)Quand ? · Durant les congés scolaires automne, détente, printemps, juillet et la 1re quinzaine d’aout.Et ça coûte combien ? · Forfait de 35 € la semaine pour les habitants de la commune. · Forfait de 45 € la semaine pour les habitants hors commune. · Accueil de matin et du soir : 1,50 € / jourModalités d’inscription :Les formulaires d’inscription sont téléchargeables sur le site internet de la commune http://www.chaumont-gistoux.be/votre-commune/services-administratifs/accueil-temps-libre-%28atl%29/plaines-de-vacances-1ou disponibles à l’accueil de la maison communale 1 mois avant la date.JOBSi tu as 17 ans ou plus et que tu as envie de consacrer une partie de ton temps de vacances aux enfants dans le cadre d’un projet pédagogique et dynamique, n’hésite pas à rejoindre les animateurs des plaines de vacances de Chaumont-Gistoux.Etre porteur d’un brevet de moniteur ou d’un titre assimilé (puéricultrice, éducateur, instituteur…) est un plus. Pour connaître les associations qui font les formations d’animateur va voir sur le site : www.one – rubrique accueil temps libre – centre de vacances – formation.L’accueil des enfants se fera du lundi au vendredi de 7 h 30 à 18 h, un horaire sera établi en réunion pour les animateurs.Si cette proposition t’intéresse, remplis le formulaire d’inscrip-tion ci-dessous et rentre-le à l’Administration communale. Tu seras invité(e) à une rencontre de sélection et, ensuite, à deux réunions préparatoires obligatoires.Natacha VERSTRAETENPrésidente du CPAS, en charge de la petite enfance, de l’accueil extrascolaire, des plaines de vacances, de la jeunesse, des ainés, des personnes en situation de handicap, de l’égalité des chances, de l’emploi et de la santéXavier GOBEAU Coordinateur extra-scolaire et responsable plaines de vacancesCoralie SOREIL Coordinatrice de plaines de vacancesArnaud DUBOIS Coordinateur de plaines de vacances 010/68.72.12Pour tous renseignements, vous pouvez appeler le service Accueil Temps Libre :Xavier Gobeau au 010/68.72.12 ou xavier . gobeau @ chaumont-gistou x . beM./Mlle ............................................................................................... Lieu et date de naissance : .......................................Adresse : ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................Tél. : ....................................................................................... Gsm : ..................................................................................Email : ..................................................................................................................................................................................Souhaite être animateur(trice) à la plaine de vacances de Chaumont-Gistoux pour la période suivante : du ......................................................................... au ........................................................................Je suis breveté(e) ou assimilé : oui ❍ non ❍Explique ta motivation pour être moniteur(trice) : ...................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................... Date : ........................................................... Signature : 25Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommuneLes années se suivent et les budgets aussi. La même chose chaque année ?Oui et non !Oui, car le budget, met en œuvre la politique communale définie pour le moyen-long terme (6 ans au moins).Oui également, car certains besoins financiers correspondent aux missions permanentes de l’autorité communale, le ser-vice public.Non par contre, parce que les budgets doivent permettre de répondre aussi aux besoins spécifiques de l’année à venir. Par exemple : l’adaptation de l’organisation à une nouvelle législation comme à l’environnement économique et social, nouvelles missions déléguées à la commune par les autorités fédérales, de nouveaux investissements requis pour l’entre-tien des voiries et des bâtiments communaux, équipements divers etc ….La confection d’un budget communal est soumise à une règle fondamentale impérative : l’équilibre des recettes et des dépenses. Il y a donc lieu de trouver les recettes (taxes, emprunt, subsides, autofinancement) indispensables à la couverture des charges sans toutefois devoir peser outre mesure sur les citoyens. Mais l’exercice consiste aussi à tenter de contenir les dépenses sans toutefois réduire le service aux citoyens. Tel est le challenge à relever chaque année.Le Budget 2018 a donc ainsi été élaboré, débattu en com-mission – ouverte à tous les conseillers communaux majorité et opposition – et présenté pour approbation au Conseil communal du 18 décembre 2017. Il a été adopté majorité contre opposition.En voici les grandes lignes.A l’exercice propre (année 2018), le budget est présenté en boni de 312.641,87 €.Si la qualité de la gestion communale a permis jusqu’à présent la présentation de résultats globalement positifs, la pression des facteurs déstabilisants se fait sentir plus fortement d’année en année principalement les charges de personnel (37 % des dépenses) malgré la stabilité de « l’effectif temps plein » et de transferts (22 % des dépenses : police, secours, CPAS, Régie communale, sport …).Les dépenses de fonctionnement bien qu’en croissance également restent raisonnables.Par contre, la dette et les dépenses liées à la dette sont en diminution, résultat de la politique menée en matière d’emprunts.Côté recettes, la fisca-lité constitue 70,26 % de l’ensemble des recettes commu-nales. Malgré l’aug-mentation significative des charges générales, aucune augmentation des additionnels n’a été proposée au Conseil.Pourtant la perception irrégulière de l’IPP par le pouvoir fédéral et les effets du taxshift sont inquiétants. Les dif-ficultés ainsi générées aux plans financier et comptable ont déjà pu être surmontées l’année dernière grâce à la gestion mise en place. Mais la répétition de ces difficultés risque de devenir préjudiciable.Le résultat général (cumulé) est quant à lui présumé à hau-teur de 2.604.667 € en érosion volontaire et contenue pour permettre un autofinancement maximum des investissements tout en assurant la gestion courante et en maintenant le niveau de trésorerie nécessaire. Les investissements planifiés pour 1.993.784 € ont été maintenus à hauteur de la moyenne des dernières années. Ils seront financés par fonds propres pour 831.024 €. L’emprunt sera maintenu en dessous du million d’euros conformément à la ligne de conduite décidée par le Collège communal en 2013.La dette sera ainsi maintenue sous les 15 millions € (en 2006 lors de la mise en place de la majorité actuelle, la dette qualifiée d’abyssale était de plus de 22,36 millions €).Si le boni budgétaire dégagé reste un point très positif de la gestion du Collège communal, les constatations notées ci-dessus soulèvent certaines interrogations quant aux pers-pectives budgétaires et financières des prochains exercices.Le Collège communal veillera donc de façon scrupuleuse, dans la mesure de ses moyens, à l’équilibre budgétaire et financier de notre commune.Pierre LANDRAIN, Echevin des Finances et du Budget · INFO FINANCES (n° 15) Budget 2018 n° 1 : Comptes 2013n° 2 : Dotation à l’activité sportiven° 3 : Fonds consacrés aux voiriesn° 4 : Dette communalen° 5 : Comptes 2014 approuvésn° 6 : Enseignementn° 7 : Budget 2016n° 8 : Tax shiftn° 9 : Comptes annuels 2015n° 10 : Nouvelles diminutions de nos subsidesn° 11 : Budget 2017n° 12 : Financement du Sportn°13 : Comptes annuels 2016n°14 : modification budgétaire n°2 de 2017 et budget 201833 %37 %-€ 2,00€ 0,00€ 2,00€ 4,00€ 6,00€ 8,00€ 10,00€ 12,00€ 14,00€ 16,0020092010201120122013201420152016Budget2017Budget2018Recettes Dépenses Résultat exercice propre101214161820222420072008200920102011201220132014201520162017 Budget20180%20%40%60%80%100%20062017SubsidesFondspropresEmprunt94 %33 %37 %30 %Evolution 2009-2018 des recettes, dépenses et résultat de l'exercice (en millions d'€)Evolution de la dette communale de 2007 à 2018 (en millions €)Evolution des sources de financement pour les investissements communaux (en %)33 %37 %-€ 2,00€ 0,00€ 2,00€ 4,00€ 6,00€ 8,00€ 10,00€ 12,00€ 14,00€ 16,0020092010201120122013201420152016Budget2017Budget2018Recettes Dépenses Résultat exercice propre101214161820222420072008200920102011201220132014201520162017 Budget20180%20%40%60%80%100%20062017SubsidesFondspropresEmprunt94 %33 %37 %30 %Evolution 2009-2018 des recettes, dépenses et résultat de l'exercice (en millions d'€)Evolution de la dette communale de 2007 à 2018 (en millions €)Evolution des sources de financement pour les investissements communaux (en %)33 %37 %-€ 2,00€ 0,00€ 2,00€ 4,00€ 6,00€ 8,00€ 10,00€ 12,00€ 14,00€ 16,0020092010201120122013201420152016Budget2017Budget2018Recettes Dépenses Résultat exercice propre101214161820222420072008200920102011201220132014201520162017 Budget20180%20%40%60%80%100%20062017SubsidesFondspropresEmprunt94 %33 %37 %30 %Evolution 2009-2018 des recettes, dépenses et résultat de l'exercice (en millions d'€)Evolution de la dette communale de 2007 à 2018 (en millions €)Evolution des sources de financement pour les investissements communaux (en %)26Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommuneLa zone de secours du Brabant wallonQu’est donc la zone de secours dont nous dépendons et qui représente grosso modo 3,3 % de dépenses dans notre budget communal en 2018 ?Tout d’abord, rappelons que les zones de secours sont à placer dans le contexte de la réforme de la sécurité civile voulue par une loi fédérale de 2007. La Wallonie compte maintenant 14 zones de secours ; les 5 casernes du Brabant wallon ont été fusionnées dès 2015 pour former la zone de secours du Brabant wallon. Un des impacts pour une commune comme la nôtre, qui ne disposait pas de ses propres infrastructures et équipements de secours, a été la mutualisation des coûts de fonctionnement à travers la zone et donc une augmentation sen-sible de notre contribution annuelle qui atteint aujourd’hui près de 500.000 €, soit environ 43 € par habitant, montant identique pour chaque habitant de la Province.Mais la volonté de ces fusions était surtout de partager les frais opé-rationnels et les investissements, d’optimiser les moyens humains et de dégager des synergies telles qu’un dispatching unique – et qu’au-delà, chaque caserne puisse dévelop-per une expertise propre qui servirait à l’ensemble de la zone. Citons, par exemple, la caserne de Wavre qui s’est spécialisée dans la désincarcération lourde et les feux majeurs mais qui accueille aussi le poste de comman-dement de la zone.La zone regroupe les 27 communes du Brabant wallon, soit une couverture pour près de 400.000 habitants sur un territoire de 1.091 km2 dont environ 25 % sont urbanisés. Elle œuvre dans une province en constante muta-tion et évolution, tant au niveau du développement des infrastructures, de l’habitat et de sa population projetée à 450.000 à l’horizon 2035.La zone de secours a pour objectifs princi-paux l’organisation optimale des secours à la population, l’amélioration de la sécurité des citoyens et des secouristes et enfin, la professionnalisation du cadre au niveau de la formation, du matériel, des procédures opérationnelles standardisées et du statut uniforme des professionnels et volontaires des services d’incendie.En 2016, première année complète d’activité de l’entité consolidée, la zone occupait un cadre de 381 personnes dont 200 volontaires.Elle était dotée de 5 postes de secours : les casernes de Braine-l’Alleud (73 personnes), Jodoigne (62), Nivelles (83), Tubize (64) et Wavre (99). Ceux-ci, outre la couverture des risques liés à la population, doivent prendre en compte la gestion de risques particuliers sur le territoire tels que 2 entreprises Seveso, l’UCL, la base aérienne de Beauvechain, plusieurs entreprises pharmaceutiques, des hôpitaux, de grosses infrastructures (écoles, maisons de repos, gares, centres commerciaux, parcs d’attraction, etc.), les lignes fer-rées, les axes routiers, pipelines, etc. De plus, l’extension des zonings et zones d’activités économiques laisse présager une augmentation de 40 % de la superficie d’activité économique dans les années à venir.En 2016 toujours, la zone a effectué 24.288 missions soit une hausse de près de 6 % par rapport à l’année précé-dente. En première place viennent les 15.376 interventions « ambulances » (+4 %), suivies des interventions techniques et de sauvetage au nombre de 3.304 (+26 %), les 1.924 interventions pour destructions de nids de guêpes (-16 %), 1.175 interventions pour incendies (-6 %), 806 fausses alertes (+23 %), etc. Il est à noter également que 9 % des interven-tions se déroulent en dehors de la Province, principalement en Hainaut et en Brabant flamand.Comment fonctionne la zone ?Le Conseil de la zone est composé des 27 bourgmestres des communes de la zone et d’un représentant de la Province, chacun étant membre de droit du Conseil.Au sein de la zone, chaque bourgmestre dispose d’une voix sauf pour les votes relatifs à l’établissement du budget et aux comptes annuels où il dispose d’un nombre de voix proportionnel à la dotation de sa commune. · ILS SONT À VOTRE SERVICE (n° 19)Dans notre découverte des différents services communaux, nous avions déjà fait une parenthèse en présentant la Zone de Police Ardennes Brabançonnes (Amalgame n° 68) qui remplit une série de fonctions destinées à garantir la sécurité des habitants des communes de Beauvechain, Grez-Doiceau, Incourt et Chaumont-Gistoux. Autre institution émanant d’une refonte, plus récente celle-là, des services au niveau fédéral : la zone de secours du Brabant wallon qui, depuis le 1er avril 2015, agit en tant qu’entité consolidée pour toute notre province lors d’interventions liées à des problèmes de santé, d’accidents, de tempêtes, d’inondations, d’incendies et de nombreuses autres situations de conseil.Patrick LAMBERT, Echevin de l’Informationn° 1 : Population - Etat civiln° 2 : Techniquen° 3 : Environnementn° 4 : Accueil Temps Libren° 5 : Instruction Publiquen° 6 : Urbanismen° 7 : Financesn° 8 : Personneln° 9 : Communicationn° 10 : Informatiquen° 11 : Protocole / estivitésn° 12 : Zone de Police A.B.n° 13 : Comité de Directionn° 14 : Secrétariat de l’ACn° 15 : Service juridiquen° 16 : Centre sportifn° 17 : Le Service Nettoyagen° 18 : le Service Marchés Publics27Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommuneLa présidence du Conseil est actuellement attribuée à Fran-çoise Pigeolet, bourgmestre f.f. de Wavre.Le commandement de la zone est confié au Major Philippe Filleul.En 2016, le cadre officier (26) était réparti sur les 5 casernes et était composé de professionnels (16) et volontaires (10) ; le cadre sous-officier comptait 50 personnes (35-15) et le solde des forces comptait 305 caporaux et équipiers sapeurs-pompiers (130-175).Quels numéros d’urgence composer en Belgique ?112 pour les pompiers et ambulances101 pour la PoliceDe plus, le 112 est un numéro d’urgence européen ; si vous voyagez donc en Europe, vous pouvez former le 112 pour alerter pompiers, équipes médicales ou police.Que devez-vous dire lorsque vous appelez un numéro d’urgence ? Généralement, lorsque vous composez un numéro d’urgence, vous vous trouvez dans une situation stressante. Il est toutefois essentiel que vous communiquiez des informations correctes et précises à l’opérateur et que vous répondiez à toutes ses questions. Indiquez-lui : · L’endroit exact et qui vous êtes · Ce qu’il s’est passé · S’il y a des blessés · Quelques conseils utiles : ❚Attendez patiemment qu’on vous réponde. Ne raccrochez pas, cela vous ramènerait au début de la file d’attente. ❚Si vous avez appelé un numéro d’urgence par erreur, ne raccrochez pas, mais signalez à l’opérateur que tout va bien, afin qu’il sache qu’il n’y a pas d’urgence.Chiffres des interventions en 2016 pour Chaumont-Gistoux :- 330 missions « ambulances »- 33 incendies de bâtiments- 6 incendies « extérieurs » exemples : feux de voitures, de broussailles, etc.- 80 interventions urgentes (sauvetages)- 42 interventions non urgentes (nettoyage de la voie publique, destruction de nids de guêpes, etc)soit un peu plus de 2% du total des interventions dans la Province.« Zéro phyto » : la gestion différenciée du parc public au jardin privé !Le fauchage tardif des bords de route fait partie de notre quotidien depuis déjà plus de vingt ans … Progressivement, nos paysages continuent de changer d’apparence. Si les parterres et jardinières demeurent, le choix des plantations diffère, privilégiant le couvre-sol au désherbage acharné entre les annuelles. De leur côté, les pieds des arbres s’entourent de copeaux de schiste pour éviter que des riverains, voulant simplement participer à la « propreté » des espaces publics, ne pulvérisent généreusement les pissenlits trop téméraires, le glyphosate s’échappant allègrement jusqu’au filet d’eau le plus proche, …Au fil des saisons, le service « Environnement-Espaces verts-Mobilité » s’attelle aussi à réaménager les abords de la Maison de l’Environnement et de l’étang d’Inche-broux avec l’ambition d’y exposer à la vue de chacun les différentes catégories de gestion que nous rencontrons sur l’ensemble du territoire communal, des gestes les plus intensifs sur les « espaces urbains de prestige » (tontes fréquentes, plantations denses, …) aux plus naturels (fauchage annuel des parterres, croissance spontanée de fleurs sauvages, …) où des zones de refuge écartent la faune et la flore sauvage de notre présence. · NATUREZ-VOUS (n° 5)La gestion des espaces verts publics est entrée dans une phase de profondes modifications du fait de l’interdiction totale du recours aux produits phytophar-maceutiques (dont les herbicides) au 1er juin 2019 dont l’objectif fondamental est d’augmenter les chances de préservation de la qualité des eaux souterraines et de surface, et par là même de notre santé !Patrick LAMBERT, Echevin de l’Environnementn° 1 : Tondre, tailler, planter, semer, …n° 2 : Collecter, transporter, broyer et compostern°3 : Construire, semer, planter … pour observer et comprendren°4 : Débroussailler, tronçonner et aménager pour se balader en toute tranquilité28Amalgame 75 – Printemps 2018Nouvelles de la CommuneDu parc d’InchebrouxAvant même de franchir la clôture en châtaignier qui enserre le parc du centre de Gistoux, de part et d’autre du plan d’eau, le promeneur peut apercevoir deux arches en saule avertissant les usagers du passage d’un monde à d’autres. Proche des habitations riveraines, une végétation indigène est domestiquée au mieux (plantée, semée, taillée ou tondue). Bien qu’acces-sibles aux visiteurs, les autres aires accueillent ostensiblement des touffes d’orties où coccinelles, chrysopes, syrphes et papillons trouvent nourriture et abri. Colverts, gallinules et autres oiseaux affectionnent toujours un herbage haut et dense favorable à leur nidification. Les amateurs reconnaîtront aussi dans le saule plongeant ses branches sous l’eau un gîte naturel pour une flore et une faune restées sauvages. À cet endroit précis, le circuit pédestre n’est pourtant pas interrompu puisqu’une rambarde en plessis sécurise la déviation.Le long du sentier, des assises sous forme de bancs ou de tronc d’arbre couché, proposent à chacun de se poser pour un moment de cohabitation pacifique avec la Nature.À mon jardin …Progressivement, épandre des produits phytosanitaires (PPP) sur des terrains publics devient donc illégal, pour les agents du service public, mais aussi pour chacun d’entre nous. Car cette mesure bouleverse aussi nos propres habitudes sur nos propriétés : si notre parterre ou trottoir est « revêtu » (gravier, bitume,dolomie, …) et qu’il jouxte un filet d’eau, avec ou sans bouche d’égout, il nous est interdit d’y appliquer quelque PPP et ce, depuis septembre 2014 … Il en va de même de l’anti-mousse épandu sur la pierre tombale d’un proche à proximité d’un filet d’eau ou d’une rigole, les cime-tières étant assimilés par la loi à un espace vert public au même titre qu’un parc et, jusqu’au 31 mai 2019, ces « zones tampons » sont déjà interdites de toute pulvérisation. À partir du 1er juin 2019, toutes les surfaces appartenant au domaine public seront concernées par cette législation.Au-delà des textes légaux, des citoyens cherchent à améliorer leur cadre de vie sans nuire à leur santé et à celle de la nature, mais ne souhaitent pas pour autant modifier radicalement leurs allées et parterres verdurés.Les services publics et associations environnementales produisent brochures et fiches techniques sur la thématique du jardin sans pesticides : désherbage préventif, alternatives aux herbicides dans les allées en gravier, entre les pavés,... Nous y trouvons des conseils pour tous les types de jardin, du plus maîtrisé au plus naturel.En savoir plusLa gestion différenciée des espaces verts se présente par le menu (zones tampons comprises) sur http: / /www . gestiondifferenciee . be/professionnel/les-pesticides-pwrp/424/2Le Service Public de Wallonie édite une brochure accessible à tout amateur de jardin quel que soit son niveau de sensi-bilisation http: / /environnement.wallonie.be/publi/education/environnement_au _ jardin . pdfwww . adalia.be diffuse des conseils au fil des mois : http://www.adalia.be/par-saisons, http://www . adalia . be/publications, … https: / /www.natagora.be/ accueille la nature au jardin sur https://www.natagora.be/index.php/faqs/comment-evi-ter-les-pesticides-au-jardin ; http://fileadmin.natagora.be/fileadmin/Nature_au_Jardin/Fiche_conseil/Fiche-conseil-RN_27 _ desherbage . pdf, … www . ecoconso.be encourage des comportements et des modes de consommation respectueux de l’environnement et de la santé : http://www . ecoconso . be/fr/thematiques/jardin-au-naturelMarie-Laurence SERRET-BRAGULAT, Conseillère en Environnement1 Le Règlement Général de Police (http: / /www.chaumont-gistoux.be/votre-commune/police/rgp-juin - 2015 . pdf) stipule : « Chapitre 5 : Interdictions prévues en vertu du Décret du 10 juillet 2013 instaurant un cadre pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable et de son arrêté d’exécution du 11 juillet 2013 :Article 154 (3e catégorie) L’application de produits phytopharmaceu-tiques est interdite sur les surfaces pavées, bétonnées, stabilisées, couvertes de dolomies, graviers ou de ballast, telles que notamment les trottoirs, cours, accotements, voies de chemin de fer et voiries, reliés à un réseau de collecte des eaux pluviales ou directement des eaux de surface. L’interdiction visée à l’alinéa précédent vise tant les espaces publics que privés.Article 155 (3e catégorie) Commet une infraction de 3e catégorie celui qui enfreint les interdictions prévues en vertu des articles 3, 4 et 6 du décret du 10 juillet 2013 instaurant un cadre pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable et de son arrêté d’exécution du 11 juillet 2013, en particulier des articles 3 à 9 ».En Wallonie, la densité des activités humaines est très importante. Ce constat se marque notamment dans l’importance des zones urbanisées (20 % du territoire) et la densité des axes de transport (le réseau routier a une longueur en Wallonie d’environ 80.000 km). Par ailleurs, les zones rurales composées de parcelles agricoles et de forêts sont utilisées de façon tou-jours plus intensive.Dans ce paysage, la place dévolue à la biodiversité se réduit dès lors toujours davantage. Le maintien et la protection à long terme de nos espèces indigènes et habitats naturels sont en jeu. Ainsi, parmi les 21 espèces de chauves-souris recensées chez nous, 19 espèces sont considérées comme menacées. L’hirondelle de fenêtre ou le moineau domestique sont également en déclin. Ce constat ne doit pas rendre immobile et inactif, mais doit au contraire inciter à trouver des solu-tions originales pour permettre à la vie sauvage de cohabiter avec les activités humaines. Rares sont les endroits où la nature ne peut pas trouver sa place.Le S.E.E.V.M. dispose d’informations pratiques en format électronique ou papier accessible à tous : 010/68.06.91 ou ml.serret.jmd@belgacom.net.29Amalgame 75 – Printemps 2018Vie associativeL’école de BonlezPour recevoir l’instruction primaire à Bonlez, les enfants se rendaient autrefois en sandales et sabots dans un bâtiment établi en retrait, sur la gauche, de l’école actuelle. Un terrain et une maison y avaient été achetés en 1827 avec pour intention d’y construire un logement pour l’instituteur et une salle de classe surmontée d’un local communal. Pour la petite histoire, ce bien revendu par l’administration après édification de la nouvelle école et incorporé dans une modeste exploi-tation agricole dénommée « ferme Parys-Gillot », du nom de ses propriétaires, sera racheté par la commune et intégré à l’école contemporaine en vue de répondre à l’augmentation du nombre d’élèves, qui s’intensifie dans les années 1980. Érigée entre 1868 et 1870 à proximité de l’église dédiée à Sainte Catherine dans un style inspiré du néo-classicisme et suivant les directives de l’architecte provincial Emile Coulon, la nouvelle école faite de briques et de calcaire, comportait deux parties : l’une réservée aux garçons et l’autre aux filles. À l’instar des écoles publiques des autres anciennes communes de l’entité créées à la même période (Chaumont, Gistoux et les Dion pour ne citer que les plus précoces), des enfants de tout âge composent une classe unique qui comportait entre autres des bancs pupitres en hêtre et bois blanc, ainsi que, plus remarquablement, une série de poids et mesures du système métrique. Longtemps, cette classe au haut plafond a été chauffée par un poêle en fonte argentée.L’emploi de sous-institutrice, créé en 1860, du temps de l’ancienne école, est occupé par une native de Chaumont Gistoux: Félicie Marie-Joseph Delle Bouillon, diplômée de l’école normale de Nivelles, établissement d’État qui four-nira également des enseignants pour la section de Gistoux à la même époque. Le sieur Goffin, quant à lui, se charge de l’éducation des garçons. Maître et maîtresse habitent les bâtiments d’extrémité et rejoignent leurs élèves dans la partie centrale du bâtiment en journée. La pompe à eau ali-mentant le quartier qui jouxte le mur d’enceinte, observable sur d’anciennes photographies, complète ce tableau de vie quotidienne au village. Après un fort engouement , l’école de Bonlez est délaissée. En 1976, on y recense une dizaine d’inscrits. Menacée de fermeture, une pétition de parents d’élèves est alors introduite auprès des autorités compétentes avec pour objectif la sau-vegarde du poste de la jeune institutrice, Madame Wilputte et la création d’une section gardienne. Suite à cette intervention, conjuguée par ailleurs avec un racolage intensif auprès des nouveaux ménages du village, les autorités vont rénover les locaux et créer un espace pour les bambins qui sera tenu par la demoiselle Decosseaux, originaire de Saint-Jean-Geest près de Jodoigne. C’est le début d’une expansion régulière de la population scolaire.La présence actuelle de plusieurs préfabriqués augmentant encore la superficie du lieu scolaire témoigne aujourd’hui que les choses ont manifestement tourné en faveur des partisans du maintien de cette institution séculaire.Pour le Cercle d’Histoire de Chaumont-Gistoux, Jérôme GRAFF Historien attaché au Service Communication de l’Administration communale · A LA DÉCOUVERTE DE NOTRE PATRIMOINE PUBLIC» (n°10)Continuons notre périple et remontons le fil du temps avec l’histoire de notre patrimoine : la série se poursuit par la découverte de l’école de Bonlez.Patrick LAMBERT, Echevin de l’Informationn°1 : L’Espace Perezn°2 : La maison communalen°3 : Les armoiries de Chaumont-Gistouxn°4 : Le château d’eau de Chaumontn°5 : Le site du Michelsberg à Gistouxn°6 : La fusion des communesn°7 : Notre patrimoine immatériel : le wallonn°8 : L’école de Dion-le-Montn°9 : L’école de Dion-le-ValNext >