Classe rénovée du Campus Provincial (ex Lycée d’Etat) Bulletin communal 1072 | | GEDINNE Le mot du Bourgmestre, Vincent Massinon Un peu d’histoire pour recadrer les choses … et pour au final, faire comprendre que notre commune n’est pas mal du tout au niveau protection de l’environnement Faut-il le rappeler, il est « de bon ton » actuellement de parler (sans pour autant toujours les faire ! ! ) de gestes pour préserver notre environnement. Afin de ramener l’église au milieu du village et essayer de tempérer ce qui ressemble quelque fois à de l’auto-flagellation, il me plaît de rappeler régulièrement que chez nous, en Belgique, en Wallonie, et plus particulièrement dans notre Commune à Gedinne … des solutions existent depuis de très nombreuses années. En effet, si les Indiens d’Amérique, il y a longtemps, faisaient déjà remarquer que « la terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre – Sitting Bull – 1831–1890 », c’est à la fin des années 70 que la conscientisation de la population sur la nécessité de préserver notre environnement a été initiée. J’ai d’ailleurs mis la main sur le rapport que nous avions remis, mon frère et moi, en 74 à l’hebdomadaire « Femmes d’aujourd’hui » qui avait lancé une cam- pagne « SOS Nature ». J’avais donc 12 ans et les partis écolo- gistes « post-mai 68 » sortaient alors à peine des fonds baptismaux. Nous y expliquions que nous avions un « coin Nature » dans les bois derrière chez nous ; que nous donnions à manger aux oiseaux pendant l’hiver et qu’au printemps, nous avions placé des nichoirs derrière chez nous ; ainsi que quelques poubelles (peintes en vert) dans notre quartier ; etc … En fait, nous faisions à l’époque, il y a donc 45 ans ! !, ce qui nous est demandé de faire actuellement, à vous et à moi... Et donc, rien vraiment de nouveau sous nos tropiques Bien évidemment, ce n’étaient là que de petites « mesurettes » en faveur de la nature. Car de vraies (et durables ) solutions techniques pour économiser l’énergie étaient en même temps mises au point par … l’industrie. Eh oui, l’industrie n’est pas ce monstre incontrôlé tel qu’on nous le décrit. Par exemple, afin de limiter les déperditions d’énergie au niveau des portes et fenêtres, l’industrie verrière produit des doubles vitrages depuis des décennies. « Le double vitrage compta parmi les produits verriers les plus couram- ment utilisés dans la construction résidentielle durant l’après-guerre. Il fut d’abord commercialisé pour la première fois par la verrerie Libbey-Owens-Ford au début des années 1940 sous la marque Thermopane. Source : Matériaux de construction d’après-guerre ». De même, et toujours dans le domaine des économies d’énergie, « ce qui est aujourd’hui connu sous le nom de laine de verre a été inventé, en 1938, par Russell Games Slayter, d’Owens-Corning, comme matériau pouvant être utilisé dans l’isolation thermique. Source : Wikipedia » Au niveau de l’industrie automobile, en l’espace de 30-40 ans, le rendement des moteurs thermiques a été fabuleusement amélioré ; et c’est ainsi que la consommation moyenne de nos chères voitures a diminué dans le même laps de temps de quasi 50 % ! Que les plus âgés d’entre nous se rappellent (et le signalent aux plus jeunes) : nos voitures consommaient dans les années 70 allègrement plus de 10-12 litres d’essence aux 100 km. Alors que maintenant, ce chiffre tourne autour de 5 l/100 km. « Il est évident que l’objectif imposé pour 2020 par l’Union euro- péenne – 95 g/km de CO 2, soit environ 3,8 l/100 km – sera atteint avant l’échéance – Source : L’auto-Journal » A noter cependant « qu’il faut que chaque automobiliste prenne conscience qu’il a à cet égard une importante responsabilité en ce qui concerne son style de conduite et l’état technique de sa voiture. Un style de conduite agressif ne peut que réduire à néant tous les efforts accomplis par le constructeur sur le plan des économies de carburant. Source : Febiac – La baisse de la consommation moyenne de carburant se poursuit » En bref, l’industrie s’adapte à l’évolution de la demande, répond aux besoins de la population. Meilleurs moteurs thermiques, voitures électriques, piles à hydro- gène, … : toutes ces choses, ce sont les industries qui les développent. Et ce sont les ingénieurs qui les conçoivent, qui les calculent, qui les mettent en production, etc Il faut cependant laisser le temps au temps … Car cela prend du temps d’adapter les outils, de modifier des lignes de production. Ca va beaucoup plus vite qu’avant mais ça prend quand même un certain temps. Un certain temps que nous n’acceptons pas facilement …GEDINNE | | 3 Et ce alors que nous ne prenons pas le temps de regarder ce que ces industries (et les ingénieurs et hommes d’affaires qui les font tourner et qui les gèrent) ont déjà fait et font sans cesse. De plus, ces mêmes entreprises travaillent, innovent sans cesse en interne pour diminuer les coûts de production. Cela passe malheu- reusement de temps à autre par des diminutions de main-d’œuvre, mais cela passe toujours par la mise au point de techniques moins énergivores. Par exemple, s’il est rare de parler de cogénération au niveau habita- tions privées ou bâtiments publics, il est par contre très courant que des cogénérations soient utilisées dans l’industrie. Et donc, ces industries, ces gros mastodontes de technologie qui nous semblent tellement polluants et qui sont bien trop souvent voués aux gémonies, sont en fait ce qui permet à chacun d’entre nous à avoir accès à des matériaux plus durables, à des appareils moins énergivores, à des automobiles plus économiques et donc plus écologiques, … Ne l’oublions pas, c’est grâce au travail des ingénieurs des bureaux de « recherche et développement » dans l’industrie que l’empreinte carbone de chacun baisse au jour le jour (ou devrait baisser si nous n’étions pas tant enclin à consommer tant de choses non indispensables). Des exemples tels que ceux abordés ci-dessus (doubles vitrages, laine de verre, …) il y en a à l’envi. De la performance énergétique de nos frigos et autres congélateurs, à la baisse de consommation d’eau et d’énergie des lave-vaisselles et des machines à laver Ou encore la diminution de la consommation d’énergie lié à l’éclairage grâce au développement industriel des lampes de type LED. A ce sujet, notons que tout l’éclai- rage public de notre commune va être peu à peu remplacé par des lampes LED. En effet, l’intercommunale ORES dont notre commune est membre et qui gère entre autres notre éclai- rage public, nous a communiqué (et nous a demandé de valider) son plan sur 10 ans de remplacement des lampes à vapeur de sodium actuelles par des LED. « À partir de 2020, ORES et RESA, les deux grands gestionnaires de réseau de distribution d’électricité en Wallonie, procèderont au remplacement des 585 000 luminaires publics communaux sur une période de 10 ans (soit 60 000 luminaires par an). Ces futurs luminaires recourront à la technologie LED. – Source : SPW ». Et donc, au final, une baisse de plus de 50 % de la consommation électrique communale liée à l’éclairage public. Consommation électrique communale, faut-il également le souligner, 100 % « verte » depuis environ 10 ans. Car en effet, notre commune achète son électricité (pour l’éclai- rage public, pour les écoles et églises, pour tous les bâtiments publics, … ) via un achat groupé géré par l’intercommunale Idefin ; achat groupé répondant à un cahier des charges dont une des clauses impose une origine 100 % verte pour l’électricité fournie aux communes adhérentes. La décision politique fut d’ailleurs unanime au niveau de toutes les communes membres de l’intercommunale IDEFIN dès le lancement de la première campagne d’achat 100 % verte. Car, last but no least, la politique tant injustement décriée, œuvre, elle aussi, sans cesse et depuis des décennies, dans le sens de la préservation de la nature. Et cela tous partis politiques confondus. Pas plus l’un que l’autre. Mais surtout pas moins l’un que l’autre. Car derrière cette « politique », il y a des hommes et des femmes qui ont pour leitmotiv le bien de la société et de leurs concitoyens. Qui ont pour la grande majorité, comme souci majeur l’avenir de leurs enfants … C’est ainsi que par exemple, depuis des dizaines d’années, la Région Wallonne incite la population, c’est-à-dire, nous, à transformer nos habitations pour les rendre moins énergivores, plus vertes. Comment ? Via de nombreuses primes. Des primes pour l’isolation des greniers, pour le placement de capteurs solaires et pour l’instal- lation de panneaux photovoltaïques, ….via des prêts à taux réduits (voir l’article de notre Présidente du CPAS), … Mais la Région Wallonne offre aussi des plants d’arbustes mellifères aux particuliers, organise des journées de nettoyage des espaces publics en collaboration avec les écoles et autres acteurs de la vie civile, accompagne les communes dans leur plan Maya, … Et de la même manière, depuis des dizaines d’années, la Région Wallonne subsidie la rénovation énergétique des bâtiments publics. Ce sont les subsides UREBA (Utilisation Rationnelle de l’Energie dans les BAtiments). Ces subsides UREBA qui nous ont permis de financer le rem- placement ces dernières années des châssis et portes de quasi toutes les salles des fêtes de notre commune ; ainsi que le rem- placement des toitures des locaux de l’ex-INDG où sont logés les différents services de la Fourmilière. Et donc, via ces primes et incitants en tous genres, la Région Wallonne nous amène à bouger dans le bon sens. « Nous » ; c’est-à-dire tant les citoyens que l’entité communale. De manière plus coercitive, la Région Wallonne impose également aux communes forestières comme la nôtre des actions en faveur de la biodiversité. Comme par exemple, la mise en réserve naturelle intégrale de 3 % de la surface boisée de notre commune (environ 200 hec- tares) en plus du maintien en place dans nos bois d’une certaine proportion d‘arbres morts à l’attention des pics verts et autres espèces cavernicoles. Ou comme l’interdiction d’utiliser des produits phyto (ndlr : anti-herbes) pour entretenir nos parcs et autres cimetières.. Je pourrais ainsi vous parler de 1000 autres actions ou impositions axées sur le développement « durable » de notre région, de notre commune. Comme du GAL et du tout nouveau Parc Naturel de l’Ardenne Méridionale dont notre commune fait partie. Comme de la gestion du tri sélectif de nos poubelles par le départe- ment Environnement du Bureau Economique de la Province de Namur. Comme de la gestion de nos rivières par le Contrat de Rivières Haute- Meuse dont vous parle régulièrement M. Rolin échevin de notre forêt. Etc … Oui, vraiment tout nous incite de manière tant privée que publique, à prendre en compte la problématique environnementale dans l’en- semble de nos faits et gestes. Avec un résultat qui me paraît plus que correct au niveau de notre commune. Bien sûr, il y a toujours moyen de mieux faire. Mais la foule de touristes que nous croisons sans cesse dans notre commune, sac au dos et appareil photo à la main, devrait nous laisser penser qu’ils viennent chez nous pour trouver un certain « bien-être environnemental » ; « bien-être » que nous, habitants de notre commune, ne mesurons peut-être pas à sa juste valeur pour être baigné dedans depuis notre plus jeune âge. C’est pourquoi, à l’aube des longues journées estivales qui vont bientôt arriver, je ne peux que vous convier à faire l’exercice d’analyser avec objectivité les conditions environnementales exceptionnelles dans lesquelles nous avons la toute grande chance de vivre, ici à Gedinne. Bonnes vacances.4 | | GEDINNE Travaux du plan d’investissement Avec le printemps est revenu le temps des travaux, ces travaux sont inscrits au plan d’investissement 2014–2018. La rue de la Chavée à Vencimont a vu son revêtement renouvelé, des éléments linéaires ont été placés également. La route montant vers la Croix-Scaille, côté Marotelle, a vu son revêtement réparé également. La « petite » place de Sart-Custinne devant l’école et la salle des fêtes s’est vue dotée de pavés et garnie de murets de pierre. Un piétonnier longe également cette place. Ces travaux sont l’œuvre de l’entreprise Lenoir Guy de Gedinne. Les travaux de la rue Gridlet et de la rue Herman André n’ont échap- pés à personne. Pour la partie communale, les tuyaux d’égouttage ont été remplacés et une partie de la distribution d’eau également. Le revêtement de la rue Gridlet incombant au SPW sera renouvelé sur près de trois kilomètres. L’entreprise Colleaux de Haut-Fays était chargée de ces travaux. Courant juin, débutera la réfection du pont surplombant la Houille à Vencimont. Ces travaux sont confiés à l’entreprise Lenoir Guy de Gedinne. Pour terminer, la place devant la maison communautaire et les loge- ments sociaux de Willerzie seront aménagés par l’entreprise Gilson Michaël de Vencimont. Des trottoirs, des parterres et un terrain de pétanque garniront cette place. Daniel Normand Echevin des travaux Les brèves de Pierre Rolin ► Dans le cadre du Festival Polliniz Acteurs, un ciné-débat « Le temps des Forêts » a fait salle comble. Les essences indigènes ne seront peut-être plus adaptées aux conditions climatiques futures. L’intervention humaine s’avère prépondérante pour garantir que notre forêt soit capable de se restaurer après des attaques d’in- sectes, de maladies, de tempêtes … afin d’être une forêt résiliente. ► BEP Environnement ► PARTOUT et pendant TOUTE la période d’été, le départ des collectes sera anticipé : 5 heure du matin en juillet et août ► A la mi-septembre, un toute boîte sera distribué pour prévenir que le sac bleu PMC deviendra P+MC : la capacité de trier s’élargira à d’autres emballages plastiques. ► Inauguration de la restauration du retable de Gedinne. Le samedi 7 septembre après-midi en l’église Notre-Dame de la Nativité, la restauration du retable de la Passion et de la Vie de la Vierge ainsi que des œuvres de l’église de Gedinne sera présentée au public. Madame Elisabeth Van Eyck, historienne de l’art, abordera l’aspect historique et stylistique du retable. Madame Fanny Cayron, restauratrice du retable, expliquera les étapes du travail accompli en corrélation avec la création du fonds « Jacques et Christiane Barbazon » à la Fondation Roi Baudoin. Social et économie d’énergie Aujourd’hui, à l’heure où de nombreuses personnes marchent pour le climat, chacun se demande comment il peut réduire sa consom- mation énergétique. Pour les familles en difficultés, cette question est d’autant plus problématique car les aménagements en vue de diminuer l’empreinte écologique d’une maison sont souvent onéreux. Afin de permettre au plus grand nombre de réaliser ces travaux, par exemple d’isolation ou la pose d’une nouvelle chaudière, la Société wallonne du crédit social, en plus de proposer des crédits hypo- thécaires, offre depuis bien longtemps la possibilité de contracter des prêts à tempérament. Deux formules existent : ► l’Ecopack, qui remplace l’Ecoprêt, existe sous cette formule depuis 2012 : prêt à tempérament à 0 % pour réaliser vos travaux économiseurs d’énergie avec préfinancement des primes* ► le Rénopack, mis en place depuis 2016 : prêt à tempérament à 0 % pour réaliser vos travaux de rénovation avec préfinancement des primes*. Au cours de l’année 2018, cette société a ainsi prêté, pour l’Ecopack et le Rénopack quelques 59.872.945 € . Sur notre commune, ce sont 6 ménages qui ont bénéficié du prêt à 0 % pour effectuer des travaux économiseurs d’énergie ou de réno- vation avec un montant moyen d’emprunt de 19.333 €. Si vous souhaitez en savoir davantage, vous pouvez vous rendre sur leur site internet www . swcs . be ou les contacter au 078/15 80 08. *La Région wallonne et la Commune offrent depuis bien longtemps des primes pour l’amélioration des bâtiments dont les économies d’énergie. Au niveau communal, nous accordons une prime équivalente à 10 % de celle octroyée par la RW. Magali Bihain Présidente du CPASGEDINNE | | 5 De la petite fuite au boiler à la grosse augmentation de la facture d’eau ! Cette année, sans doute plus que les autres années, la commune a reçu pas mal de demandes de révision (à la baisse bien sûr ! ) de la facture d’eau. En effet, celui qui voit sa facture doublée voire triplée en un an, n’est pas très heureux. Or cette augmentation de la facture est très souvent imputable à une fuite d’eau au niveau du boiler. Ou plutôt au niveau du groupe de sécurité (soupape) du boiler. Et donc la responsabilité de cette fuite « privée » n’incombe pas à la commune et aucune diminution de la facture ne peut être octroyée dans ce cas. Pour vous préserver de ces désagré- ments, parlons un peu technique ������ Vous le savez sans doute, votre boiler de production d’eau chaude est pourvu d’une soupape de sécurité (le petit appa- reil rouge en dessous de votre boiler). Bien souvent, nous ne contrôlons pas le bon fonctionnement de cette soupape de sécurité En effet, rares sont ceux qui le font … Or, si cette soupape de sécurité est là pour nous préserver de problèmes de surpression, elle peut aussi nous réserver de bien désagréable surprises ! En effet, si pour une raison ou une autre (usure ? petite crasse bloquée dans le mécanisme ?...), cette petite soupape ne se referme pas bien, elle laisse alors passer un « petit pipi » d’eau. Mais … ce « petit pipi » va au bout d’un certain temps représenter un fameux paquet de mètres cubes d’eau envoyés à l’égout. Et surtout un paquet de mètres cubes d’eau qu’il faudra payer en bout d’année et cela sur base d’une formule imposée par la Région Wallonne et que la commune ne peut pas diminuer (1 m3 est facturé à +/- 5 € TVAC ! ). Pour se donner une idée, un seau d’eau par jour – ce qui n’est pas énorme à première vue – cela représente pas loin de 4 m3 d’eau au bout de l’année. Or, une soupape qui perd, cela représente vite plusieurs seaux par jour … plusieurs seaux d’eau perdus et envoyés à l’égout … mais qui seront bien évidemment facturés … Nous ne pouvons donc vous donner d’autres conseils que d’accomplir régulièrement ces quelques petits gestes : ► 1 : regarder si elle ne laisse pas couler de l’eau de manière régulière (attention : quelques gouttes de temps à autre, cela est normal en cas de petite surpression). ► 2 : actionner régulièrement (faire tourner le bouton rouge) le méca- nisme afin de nettoyer le conduit et de faire partir d’éventuelles petites crasses qui risqueraient de venir bloquer le mécanisme. Par ailleurs, dernier conseil, et pas le moindre, retirer le tuyau de décharge qui bien souvent se trouve tout tout juste sous la soupape. Si « juste dessous » la soupape, qu’il est quasi impossible de voir si la soupape en question fuite et/ou d’entendre cette fuite. Croyez-moi, il vaut 1000 fois mieux que cette fuite coule par terre (ou dans une vieille casserole au pied de votre boiler). De la sorte, vous serez alerté et vous pourrez réagir rapidement. Soit en changeant vous-même la soupape défectueuse, soit en faisant appel à un de nos chauffagistes locaux Vincent Massinon Bourgmestre Ventes de bois exercice 2019 Les ventes de bois de chauffage ont rapporté 56.765,00 € + 3 % de frais soit 58.467,95 € . Pour la revente du 26 avril, le montant net est de 2.925,40 € , avec les frais (3 %), la TVA (2 %) et la caution bancaire au-delà des 35 m3 lors du cumul des lots achetés, le total général s’élève à 3.447,00 € (application de l’article 7 des clauses particulières générales). Les ventes de bois marchands ► 08/11/2018 : 770.174,00 + frais + TVA = 809.144,80 € ► 22/11/2018 (revente) : 195.978,00 + frais + TVA = 205.894,48 € ► 21/03/2019 : 450.634,00 + frais + TVA = 473.436,08 € ► 04/04/2019 (revente) : 90.098,00 + frais + TVA = 94.656,96 € A cela, il faut ajouter les multiples ventes de gré à gré justifiées par les scolytes et l’urgence sanitaire d’évacuer ces bois malades. A ce propos, d’aucuns diront que l’on ne vide pas la mer avec des seaux, mais notre commune a tenté l’expérience des ARBRES PIEGES : un insecticide agréé DNF, mis par deux de nos ouvriers avec phyto-li- cence, dans des conditions météo et d’environnement adéquates avec l’usage de phéromones attractives permettront probablement d’atténuer ce fléau des temps modernes. Pierre Rolin Echevin des forêts6 | | GEDINNE Sébastien LIBOIS Installation - Dépannage Entretien CHAUFFAGE SANITAIRE 0478/62.89.99 Membre du Rhizome www.lerhizome.be Rue d’Utue 4 - 5575 GEDINNE info@cl-menuiserie.be 06158 87 80 - 0474 276 533 SPRL GILSON Marcel & Fils Jean-Marc GILSON, gérant Gsm : 0475/70 60 88 Notre expérience à votre service Pour vos travaux extérieurs, cours et tro�oirs, pavage, tarmac, Agréé pour pose de sta�on d’épura�on individuelle Rue de Bouillon, 4 5575 MALVOISIN Tel : 061/58 81 73 Fax : 061/58 99 18 Mail : sprlgilson@skynet.be Funérarium VAN ROYEN Organisation de funérailles Caveaux - Monuments Réception après funérailles Vaste parking Assurances Obsèques Funérariums : A Rienne Rue Gilbert Lepropre 22 A Beauraing Rue de Martouzin 72 0477 84 58 67 • 0473 87 87 50 • Funérailles F. Hebette M. Divoy Garage - Carrosserie Véhicules toutes marques Vente voitures occasions/neuves Tél.: 061/58 90 18 70 rue Albert Marchal - 5575 Gedinne carrosseriedivoy@skynet.be Ag réa tion FSM A 100308A BureauLamotte ASSURANCES ∙ PRETS ∙ PLACEMENTS Rue de Charleville 39 5575 GEDINNE Un service de qualité depuis plus de 40 ans Tél. 061 58 85 92GEDINNE | | 7 FINALES PROVINCIALES DE VOLLEY BALL En 2018, étaient organisées les finales provinciales de football et de mini-foot à Gedinne. Les murs du Centre Sportif de la Houille ont encore résonné cette année puisque ce 1 er mai, c’était le volley club de Gedinne qui avait l’honneur d’organiser ces finales provinciales. Après les finales des jeunes en début de journée, les « deux grandes » finales dames et hommes terminaient cette journée. Chez les dames, le sacre est revenu au VC Gembloux qui a battu Jemeppe. A noter que ces deux équipes ont brillé en championnat puisqu’elles montent à l’échelon national cette année. L’équipe de Walhain s’est imposée contre Floreffe chez les hommes. Belle journée de propagande pour le volley et plus spécialement pour le volley club de Gedinne qui monte cette année en 1 re provinciale. Félicitations à elles pour cette organisation et cette montée en provinciale. Daniel Normand Echevin des sports Abattoir communal et atelier de découpe En réponse à l’appel à projet des Halls Relais Agricoles (HRA), l’ASBL GAL Ardenne Méridionale Agriculture, a développé l’idée d’implanter un atelier de découpe multi-viande sur le parking de notre abattoir com- munal, ce dernier dispose d’une base de données de 851 utilisateurs. La première action est la mise en place d’une coopérative de pro- ducteurs pour les neuf communes. Cela passe par l’élaboration d’une structure juridique et des statuts. Ce « noyau dur » d’une quinzaine d’éleveurs se met en place et, via l’achat d’une remorque, pourrait dans un premier temps faire usage de l’atelier de découpe de Marloie Agrinew, inauguré depuis peu, pour commercialiser des carcasses au départ de Gedinne. La deuxième action est la validation d’un soutien financier direct de la part des neuf communes qui se réuniront à court terme pour « mutualiser » ce projet. En effet les 200.000,00 € de subside HRA obtenu en mars 2019 et l’apport financier de la coopérative ne suffisent pas à couvrir les frais de cette construction estimée à 700.000,00 € . Lors de la présentation du 09 mai, les différents calculs évaluent le coût par habitant à plus ou moins 5,00 € et ce pour manger local, en respectant le bien-être animal et en valorisant le travail de nos agriculteurs. Pierre Rolin Echevin de l’agriculture Droit à la mobilité et co-voiture-âge Comme nous le savons tous, la commune de Gedinne, éloignée des centres urbains, est défavorisée au niveau des transports en commun. Ce constat vient d’être confirmé par une récente analyse, réalisée à la demande du Gouvernement wallon par l’Institut Wallon de l’Éva- luation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS). Cette étude a pour objectif de rendre compte de l’accès effectif de la population de chaque commune aux droits fondamentaux. Pour la mobilité, la commune de Gedinne obtient une note de 0,10/1 alors que la moyenne des communes wallonnes est de 0,4. Afin d’apporter une solution à ce besoin en mobilité, le CPAS a mis en place, depuis de nombreuses années déjà, un service appelé co-voiture-âge. Sur l’année 2018, les bénévoles de ce service ont parcourus quelques 42.457,86 km, soit une moyenne de 3.538 km par mois. Sur les 5 premiers mois de cette année, c’est déjà 25.259 km (soit 5.051 km par mois) qui ont été parcourus afin d’accompagner nos habitants dans leurs déplacements. Pour pouvoir bénéficier de ce service, il vous suffit de prendre contact avec le service co-voiture-âge du CPAS, joignable tous les matins (061/46 58 50) qui vous expliquera la marche à suivre. Une affiliation annuelle d’un montant de 2,50 € vous sera demandée ainsi qu’une intervention de 0,25 € par kilomètre dans un rayon de 40 km. Au-delà de ce rayon, le prix sera de 0,36 € /km, sauf pour les déplacements pour raison médicale. Votre impossibilité à venir jusqu’au CPAS ne doit pas constituer un frein. S’il vous est impossible de venir au bureau, des solutions existent pour que nous venions à vous afin de vous faire bénéficier de ce service. Magali Bihain Présidente du CPAS8 | | GEDINNE CPAS : AVIS AUX EMPLOYEURS : PFI et ARTICLE 61 Tout comme les bénéficiaires d’allocations de chômage, les bénéficiaires du revenu d’intégration ont droit à des subventions, et notamment le PFI et l’article 61. Pour ces 2 formules liées à nos bénéficiaires, Mme V. GILSON pourra vous informer le lundi, mardi et jeudi au 061/46 58 58. Le service de conseillers Entreprises du FOREM est également à votre disposition pour vous renseigner sur toutes les possibilités de primes et pour évaluer l’engagement d’un demandeur d’emploi sous sa forme la plus avantageuse pour votre entreprise. N’hésitez pas à prendre contact avec Mme DONY, conseillère entre- prise du Forem, au 081/48 69 38 Mot du Commissaire Divisionnaire Edwin DASSONVILLE : nouveau Chef de Corps de notre Zone de Police Je suis entré en fonction en tant que Chef de Corps de la Zone de Police « Houille- Semois » regroupant les com- munes de Beauraing, Gedinne, Bièvre et Vresse-sur-Semois ce 01/04/2019. Après avoir travaillé à Bruxelles dans le domaine de l’ordre public, je me suis ensuite spé- cialisé en sécurité routière à Charleroi avant de devenir le Chef de Corps de la Zone de Police de Jemeppe-sur-Sambre. A 44 ans, originaire de Namur, je reste en effet intimement persuadé qu’il faut « voyager » pour continuer à progresser. Particulièrement enthousiaste et profondément attaché au fait de mener des activités au niveau local qui ont des effets directement palpables sur la sécurité et la qualité de vie des citoyens, j’ai été séduit par l’état d’esprit positif qui règne au sein de la Zone de Police Houille-Semois ainsi que par sa capacité en moyens humains et matériels. Guide- nature passionné, la beauté et richesse de cette région n’a pu dès lors que m’encourager à franchir le pas ! Ce 01/04/2019 en prêtant serment, je n’ai pas pris qu’un seul mais plusieurs engagements. Un engagement d’abord vis-à-vis des autorités communales et ensuite vis-à-vis des habitants des quatre communes, celui de garantir leur sécurité et de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie dans la commune. Un engagement vis-à-vis des hommes et femmes qui constituent mon équipe, celui d’améliorer le fonctionnement de la zone en optimisant les moyens et en restant à leur écoute. Je sais que leur expérience du terrain est l’une des plus précieuses ressources qui soit à ma disposition pour mener à bien la mission qui vient de m’être confiée. Merci à celles et ceux qui depuis sa création ont fait ce que la Zone de Police est actuellement ! Cette mission se traduira prochainement par l’établissement d’un plan zonal de sécurité qui définira les balises de l’action policière pour les 4 prochaines années. Ce guide est donc d’une grande importance. C’est pourquoi, je m’appuierai pour son élaboration sur différentes analyses dont les résultats de l’enquête à laquelle les citoyens ont répondu il y a quelques mois. Un autre projet phare consistera, en cas d’accord politique, à réaliser une étude des besoins en vue d’implanter une nouvelle infrastruc- ture plus fonctionnelle permettant entre autres une centralisation de certains services tout en conservant un accueil de qualité pour tous les habitants. A ce propos, je poursuivrai d’ailleurs l’implémentation des concepts de la police dite « de proximité ». Une de mes préoccupations sera en effet de gagner en visibilité et ce, sur un territoire très étendu. Fort de ma motivation, de mon expérience acquise ainsi que d’un large soutien des autorités politiques et judiciaires, je m’engage afin d’en- core améliorer le service rendu par la Zone de Police Houille-Semois. Edwin DASSONVILLE Commissaire Divisionnaire de Police, Chef de Corps POUR ORGANISER UNE EXPOSITION TEMPORAIRE À L’OCCASION DU 75E ANNIVERSAIRE DE LA LIBÉRATION DE NOTRE COMMUNE (DÉBUT SEPTEMBRE), NOUS SOMMES À LA RECHERCHE DE PHOTOS ET DOCUMENTS (ENTRÉE DES AMÉRICAINS, MAQUIS, ETC). MERCI D’AVANCE. SVP PRENDRE CONTACT AVEC L’OFFICE DU TOURISME (MAISON LANGUILLIER) – 061/587 484GEDINNE | | 9 spr l Nemry Guerin Entreprise agréée auprès des compagnies d’assurances Inspection vidéo des réseaux avec détecteur Assainissement Débouchage de canalisations Curage et réparations en tout genre Gros-Fays, 80 - 5555 BIÈVRE 061 50 19 05 - 0478 24 80 71 nemry.jean-pol@belgacom.net Renseignements et inscriptions : Sur rendez-vous au 0476 473 249 Inscriptions toute l’année en section maternelle, du 01/07/19 au 12/07/19 et à partir du 19 août 2019. Ecole fondamentale de la Croix-Scaille Rue de la Croisette 13 - 5575 GEDINNE - 061 588 138 www.ecolecroixscaille.be Garderie de l’ATL dès 7h00 et jusqu’à 18h00 Pédagogie adaptée aux enfants Une cour pour la section maternelle Une nouvelle cour pour la section primaire Modules de jeux et activités récréatives TBI et ordinateurs dans chaque classe Potage gratuit et repas chauds à prix démocratique Cours de natation, néerlandais et anglais Projet de voyages européens ERASMUS+ en 5ème et 6ème primaire Nouvelle salle de sieste pour les petits A TOUTE FUITE SPRL Rue de Graide 20A - 5555 NAOME GSM : 0495 75 81 307 atoutefuite.menage@skynet.be Entreprise de toitures Réparations urgentes DEVIS GRATUIT Rénovation toitures - Charpentes Démoussage - Couvertures diverses Bardage - Isolation Pose de velux Aménagement de comblesNext >